À propos de nous

Julie Monette, candidate au doctorat en sciences, technologie et société à l’UQAM s’intéresse à l’univers des projets, et à la satisfaction des parties prenantes dans les grands projets publics. Elle travaille sous la direction de la professeure chercheure C. Coulombe depuis 2022 et fait partie de la Chaire de gestion de projet et de l’Observatoire québécois de la recherche sur la collaboration. Co-autrice de 3 papiers de nature académique et de conférences internationales, elle a déposé un mémoire sur la validation d’un outil de mesure de performance de la satisfaction des parties prenantes dans les projets de construction d’infrastructures publiques. Riche d’une expérience en gestion de projets marketing de plus de 30 ans, elle a participé au succès de nombreux projets pour les plus grandes entreprises québécoises et canadiennes. Julie a accompagné des projets de changements organisationnels et offre maintenant toute son attention et soutien au développement des approches collaboratives en organisation au Québec.

Madame Mahamat Nour Assadya, doctorante en science, technologie et société à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), possède un baccalauréat en informatique de gestion et un DESS en évaluation de programme de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. Son domaine de recherche s’inscrit dans une approche décolonisante, explore l’utilisation de la technologie Blockchain pour améliorer la gouvernance foncière, avec le Tchad comme cas d’étude. Assadya est membre à l’Observatoire québécois de la recherche sur la collaboration (OQRC) et du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST). Avant de se lancer dans la recherche doctorale, Assadya a accumulé une riche expérience de 20 ans dans l’administration publique au Tchad. Elle a occupé des postes tels que directrice générale adjointe de l’Agence nationale de la sécurité informatique et de la certification électronique (ANSICE), conseillère référendaire à la Cour des comptes, directrice de l’économie et de la promotion du secteur privé, directrice générale du domaine et du patrimoine, directrice adjointe de la dette, et directrice des affaires administratives, financières et du matériel. À la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC), elle est commissaire titulaire représentant le Tchad à la commission bancaire de l’Afrique centrale (COBAC) et a été membre du Comité de Politique monétaire.

Karine Rajoelisolo Debergue apporte une perspective nuancée sur la communication dans les collaborations. Sa posture visant à donner une voix aux marginalisés dans les débats managériaux enrichit le dialogue sur l’interculturalité, sujet central tant dans les projets internationaux que locaux. Doctorante et chargée de cours à l’ESG UQAM, Karine allie théorie et pratique grâce à une double maîtrise en management et en gestion de projet, complétée par 15 ans d’expérience en gestion de projet en communication. Sa recherche doctorale sur la communication interculturelle dans les projets de développement, met l’accent sur les perspectives des communautés locales pour identifier et surmonter les obstacles à une communication efficace. Ses recherches alimentent les discussions scientifiques à travers les conférences et publications, et offrent à l’OQRC des connaissances pour comprendre en profondeur les contextes étudiés. Ses contributions pratiques axées sur des recommandations concrètes, visent à influencer positivement la pratique de la gestion de projet, rendant ainsi les initiatives de développement plus inclusives et efficientes.

Professeure associée en Géographie à l’UQAM, Diane Alalouf-Hall, docteure en sociologie, est la directrice du PhiLab Québec, un laboratoire de recherche partenariale sur la philanthropie. Elle est également chercheure à l’OQRC et membre du comité scientifique de l’Observatoire canadien sur les crises et l’action humanitaires (OCCAH). Récemment, elle a achevé une recherche postdoctorale au sein de la fondation de la Croix-Rouge française, se concentrant sur l’étude des pratiques d’internationalisation de la gouvernance d’ONG humanitaires internationales et leurs impacts sur les politiques de renforcement économique des femmes notamment. Actuellement, Diane mène une recherche en partenariat avec l’université de Colombie Britannique (UBC) et la fondation Mirella et Lino Saputo sur le secteur philanthropique et la subsidiarité de l’État. Avec de nombreuses publications et communications scientifiques et praticiennes à son actif, Diane apporte son expertise et son analyse des univers philanthropique, de bienfaisance et humanitaire au projet de Mesure de la satisfaction des parties prenantes en contexte OBNL, municipal et de projets de développement international.